"Teach us
how to outgrow our madness." Drôle de titre qui nous averti
du caractère éclectique et fou du spectacle qu’on ira voir. Des haines, des peurs
et parfois des mots souples et amoureux sont
criés sur la scène par les cinq femmes qui composent le show. Cinq
femmes, aucun homme. On assiste à un univers totalement féminin où des
différents attributs féminins nous sont
montrés, tant au niveau matériel -des longs cheveux, des jolis chaussures, des
jupes et robes- comme au niveau psychologique –la tendresse, la jalousie et un
peu de naïveté.
Comme souligné auparavant, ce spectacle est un
spectacle éclectique. On assiste à un mélange de danse, chant et jeux d’acteur. En tant que
spectateur nous ne savons jamais quel sera le prochain mouvement des artistes :
il peut bien s’agir d’une chanson douce et tranquille comme d’une chanson « glam
rock » ou une danse énergétique. Cet état constant d’incertitude fait que
le spectateur reste en alerte tout le temps pour ne pas désagréablement sursauter
à chaque musique qui crève les oreilles. Au bout d’un moment on en devient
fatigué et on attend sans cesse la fin, 1h30 devient une éternité.
Bien que surpris par la qualité des acteurs/danseurs -il m’a fallu attendre le milieu du spectacle pour me rendre compte que c’étaient-elles qui chantaient – "Teach us how to outgrow our madness" est une pillule dure à avaler auditivement parlant. Des sursauts d´hautes et basses ainsi comme de micros pas tout à fait justes sont présentes et percent les oreilles des spectateurs. Pas un spectacle pour tout le monde.
Bien que surpris par la qualité des acteurs/danseurs -il m’a fallu attendre le milieu du spectacle pour me rendre compte que c’étaient-elles qui chantaient – "Teach us how to outgrow our madness" est une pillule dure à avaler auditivement parlant. Des sursauts d´hautes et basses ainsi comme de micros pas tout à fait justes sont présentes et percent les oreilles des spectateurs. Pas un spectacle pour tout le monde.
Ana Sofia Rivas Sepulveda
AS3
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