Après avoir sorti de
leur contexte d'anciens décors de spectacles avec son exposition
« Spécimens et prototype », où l'on pouvait apercevoir l'œuvre d'une étrange
créature composée de 1.200 petites cuillères, le LAAC (Lieu
d'Action et d'Art Contemporain) range son excentricité le temps
d'une exposition. En effet pour ça dernière exposition qui avait
lieu du 19 octobre 13' au 02 mars 14', « Multiples Uniques »
le LAAC rend hommage a son créateur Gilbert Delaine mort au mois de
juin dernier. Delaine est le fondateur de l'Association de l'Art
Contemporain par la suite devenu le LAAC.
Cette exposition nous
présente une partie de la collection des œuvres de Bernard Chauveau.
Cette collection nous est présentée dans huit salles. Les liens qui unissent ses salles ne sont pas évidents voir inexistant. Nous passons de la perspective avec des tableaux des Vasarely père et fils, à
un retour en enfance avec une œuvre de Frabrice Hyber mélanger
a une œuvre autobiographique de Roman Opalska, à des tableaux remplient de courbes comme celui de Joan Miró "femme espagnol".
Il
serait certainement trop compliquer de s'attarder sur toutes les œuvres de
l'exposition « Multiples Uniques », c'est pourquoi j'ai
choisit celles qui m'ont le plus marqué dans le bon comme dans le
mauvais sens.
Pour
commencer, Victor Vasarely, père, fait un incroyable travail de
perspective. Ses œuvres présentées lors de l'exposition sont principalement constituées de scotch
coloré. Il est reconnu pour être le père de l'art optique, et ses
œuvres ne peuvent que le confirmer, en nous donnant un réelle
sentiment de vertige.
Victor
Vasarely a beaucoup travailler avec divers matériaux, ce qui est le
contraire de son fils, Jean-Pierre Vasarely qui lui est à l'origine de
l'expression « l'art numérique ». Toutes ses œuvres
sont faites par ordinateur, et donne un certain effet de
robotisation, mais en même temps ce sentiment d'infini. Il est difficile de savoir si l'on apprécie vraiment ce genre d’œuvre, mais dans tous les cas on l'en reste perplexe par les parfaites mesure que l'on y trouve.
Jean-Pierre Vasarely
Une
salle est dédiée à Philippe Robert qui est un sociologue français. C'est l'une des salle les moins captivante,
peu être est-ce le fait qu'elle soit la septième salle et que les
jambes commence à s'engourdir, ou est-ce aussi la mise en
scène d'un carré en forme de librairie labyrinthe, moins avenante. Pourtant très intéressant puisque cette dernière est une
bibliothèque de souvenir, il est donc dommage qu'elle soit installer de cette manière là.
Pour
conclure, je dirais qu'en collectionnant toutes ses œuvres Chauveau
est entré dans un monde différent pour chacune d’entre elles.
C'était un risque de les exposer ensemble sans qu'elles aient pour
autant avoir une corrélation les unes entre elles, c'est pourquoi
le choix du LAAC comme lieu d'exposition est astucieux. Par le biais
de ses huit salles, nous découvrons huit univers différents, tant accessible
pour les enfants que pour les adultes.
Anouk Andrieu, AS1
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