Le LAM accueille l’exposition
de Meret Oppenheim pour la première fois à l’occasion de son 100ème
anniversaire.
Le musée se situe à Villeneuve d'Ascq,
il est facilement accessible en transports en communs et est entouré d’un parc où
l’on peut admirer des sculptures. Quand
on entre dans le bâtiment du LAM dont la couleur s’accoutume à la terre, la
lumière du soleil pénètre dans la salle et occupe tout son espace grâce au
plafond haut, apportant une atmosphère plutôt légère dans le musée.
Cette exposition temporaire se
compose de 8 thèmes. En voyant ses œuvres
diverses, on peut comprendre qu’elle est à la fois modèle de photo, peintre,
plasticienne et écrivaine et qu’elle est intéressée par beaucoup de choses. Comme
ses œuvres sont plutôt surréalistes ou dadaïstes, on a parfois du mal à les
comprendre sans explication.
Par exemple,“Bon appétit, Marcel![La Reine blanche]”. La pièce d’échec qui se situe au milieu de l’assiette
et qui ressemble à un corps de femme avec une grande coupure, ça me rappelait
d’abord une opération chirurgicale ou bien une situation grotesque bien qu’elle
veuille montrer l’idée que la femme est considérée comme un objet ou un
aliment.
Cependant,
même si la plupart des œuvres dans cette exposition sont parfois grotesques ou
érotiques, j’ai pu ressentir la délicatesse d’une femme.
Enfin
le problème de cette exposition est le fait que sa plus célèbre œuvre “Le
Déjeuner en fourrure ”était absent. Par contre, l’absence de ces
œuvres nous permet de voir les autres aspects de Meret et comprendre sa
souffrance par apport au fait que les gens ont tendance à ne pas faire attention
à ses autres œuvres après que cette œuvre soit parue
Mayuko HIRATA, Etudiante internationalle
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